BROCHURES

Les prisonniers politiques et la question de la violence révolutionnaire

Contribution des prisonniers d’Action Directe,
Joëlle Aubron, Nathalie Ménigon et Jean-Marc Rouillan
pour la Journée internationale du prisonnier révolutionnaire 1998, à Gand (Belgique).

"La lutte pour la libération des prisonniers politiques n’est pas un acte neutre. Elle ne l’a jamais été. Il doit s’agir avant tout d’un
processus de réappropriation du concept de violence révolutionnaire. Et aujourd’hui ce processus se confronte au tabou et à la
véritable chape de plomb tombée sur le mouvement après les défaites et les reculs de la guérilla et de l’ensemble des forces
antagonistes sur ce continent. La bourgeoisie a réprimé l’idée même de violence
."