« Lui c’est Bob. Il est souvent sympa. Mais des fois, Bob, il fait un peu n’imp... »
Quelques exemples pratiques pour ne pas être relou pendant les fêtes.
NB : ça marche aussi dans des cadres non-festifs.
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« Lui c’est Bob. Il est souvent sympa. Mais des fois, Bob, il fait un peu n’imp... »
Quelques exemples pratiques pour ne pas être relou pendant les fêtes.
NB : ça marche aussi dans des cadres non-festifs.
« Cartographies de la jalousie » est le chapitre XIII du livre La salope éthique, publié en 2013. Ce chapitre analyse les mécanismes de la jalousie et propose des outils pour comprendre d’où vient ce sentiment et comment faire avec pour vivre des relations affectives libres épanouies.
« Déconstruisant allégrement les mythes et les fondements de l’Occident en matière d’amours et de sexualités, Dossie Easton et Janet W. Hardy ont mis leur expérience à notre service pour nous offrir une magnifique boîte à outils relationnelle. Désapprentissage de la jalousie, disputes équitables, conflits constructifs, ruptures sereines, tout en baignant dans une abondance d’amour et d’amitié... tout cela est
devenu de l’ordre du possible pour les salopes éthiques. Une salope éthique donc, mais aussi épanouie, en harmonie avec le monde et débordante d’humanité. »
Ce texte est un témoignage de violences psychologiques et verbales dans un couple de lesbiennes cis. Bien qu’il traite d’un cas particulier peu documenté : les violences conjugales non-hétéro ; ce texte est aussi tristement banal et révèle des violences possibles dans d’autres cadres : familial, professionnel, amical.
La violence psychologique passe entre autres par de la violence verbale. Ce sont par exemple des phrases dites par des personnes dont nous sommes dépendant·es matériellement ou sentimentalement. Elles sont autant de manières pour se désengager d’une relation, maintenir une tension, faire culpabiliser l’autre ou encore obtenir le consentement d’autrui à son insu. Ces paroles s’inscrivent dans une dynamique quotidienne, devenant une évidence relationnelle. C’est alors complexe de voir ces attitudes comme de la violence. Elles sont incorporées et font mal dans la chair comme des fêlures de l’intégrité. L’estime de soi se brise petit à petit, le ressenti d’impuissance et le doute prennent le pas sur la légitimité à s’opposer. Aussi bien pour les victimes que pour les témoins, reconnaître ces violences est une façon parmi d’autres d’y faire face. Soif d’avancer et de s’entourer.
« Ceci n’est pas un rapport scientifique ni une étude sociologique.
Ce n’est pas non plus un manuel avec des bonnes réponses.
Ceci est un recueil de témoignages : des histoires personnelles qui sont venues nous questionner sur notre rapport au consentement corporel. Aussi, les ressentis et prises de positions (claires ou pas), internes aux textes, ne représentent pas la vérité, mais la vérité de la personne qui écrit au moment où elle écrit. (...)
Ce recueil, c’est aussi une ouverture vers d’autres ressources liées à cette notion. Celles que nous connaissions, celles que nous avons découvertes, celles que nous avons envie de partager. »
Sommaire :
- Edito
- T’inquiète pas, c’est normal
- Le placard
- Disko
- Pourquoi, moi, féministe, bien à la page du consentement,
j’ai fermé ma gueule ?
- Touche pas à mes cheveux !
- Consommer avec modération
- Trois fois rien
- Comme une voleuse
- Et mon corps a regretté
- Comme si de rien n’était
- Dix sept
- Contretemps
- Et maintenant ?
- Ressources
Cette brochure rassemble deux textes :
Cancer, l’art de ne pas regarder une épidémie :
Combien dénombre-t-on de cancers en France ? Sont-ils plus nombreux à proximité des sites industriels ? Et surtout : comment se fait-il que, dans une société fondée sur le traitement de l’information et la collecte de données personnelles, il soit si difficile de répondre à ce genre de questions ?
Si vous allez mourir, tapez étoile - Lutter pour faire reconnaître les cancers professionnels :
En France, seule une poignée de cancers sont reconnus comme maladies professionnelles. Pour cause : c’est aux malades qu’il revient de prouver leur exposition aux cancérogènes. En Seine-Saint-Denis, des chercheurs·ses s’engagent dans cette épopée administrative aux côtés de salarié·es contaminé·es ou de leurs proches.
Deux textes qui abordent le sabotage d’antennes relais et les impacts d’une attaque physique sur le réseau électrique.
Quelques mois après la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré à Clichy-sous-Bois et le déclenchement de la révolte incendiaire d’octobre-décembre 2005, le recueil de textes C7H16 réunissait des textes courts parus à l’époque sur internet, des extraits de fictions littéraires, une chronologie des événements et un street-CD.
Sommaire :
- Edito / G la rage et je la garde
- Chopé sur le net / La révolte fait rage...
- Nouvelle / Fonctionnaires en danger !
- Chopé sur le net / Ma cité
- Nouvelle / Juste un gamin qui grandit...
- Chronologie
- Extrait d’une nouvelle / Il fera si bon mourir
- Extrait d’une nouvelle / Au pied du fromager
À la suite d’une introduction qui se penche sur l’histoire de la cogestion (réformiste) comme stratégie d’intégration (para)étatique des dynamiques contestataires (révolutionnaires), ce texte fait une analyse de la lutte contre le projet de barrage du Testet, à partir d’un récit chronologique de 2011 jusqu’à 2017.
« Comment penser les rapports, dans les luttes territoriales actuelles, entre leurs deux composantes essentielles, les forces de contestation (radicale) et les visées de cogestion (citoyenne) ? Ces deux attitudes peuvent-elles, comme on le souhaite souvent la bouche en cœur, se combiner et se renforcer, à quelles conditions et jusqu’à quel point ? Quels sont les dangers de ce genre d’alliance, et peut-on s’en prémunir ? Comment les autorités tirent-elles parti de cette division, et comment pouvons-nous en tirer parti ?
L’histoire de la lutte contre le barrage du Testet dans la forêt de Sivens (Tarn), et de l’évolution de sa composition, peut nous donner des éléments de réponse. Après une première phase de constitution de l’opposition, et de coopération étroite entre ses deux principales composantes, la violence croissante de la lutte sur le terrain a fait monter la tension entre elles. Finalement, l’État a repris la main sur le terrain en jouant la double stratégie de la carotte participative (pour la frange cogestionnaire de l’opposition) et du bâton répressif (pour ses éléments contestataires). »
Sommaire :
- Intro
- La cogestion se sait impuissante et suscite la contestation
- Les tensions montent de toutes parts
- La carotte de la démocratie participative et le bâton des milices fascistoïdes
- La composition explosive des luttes territoriales
- Bonus : Tract « Après les pyromanes, les pompiers ? Les dessous du "projet de territoire" de Sivens »
Petit guide illustré à l’attention de toutes les personnes dotées d’un « appareil génital femelle humain ».
Sommaire :
- L’auto-examen, c’est quoi ?
- De quoi j’ai besoin ?
- Le speculum (Où trouver un speculum ? / L’entretien / Les tailles / L’HIStoire du speculum)
- C’est parti !
- Je vois quoi ?
"Les réintroductions d’espèces réalisées en grande pompe occupent régulièrement l’espace médiatique, d’autant plus quand l’individu concerné appartient à la catégorie des grands prédateurs. Au-delà de l’actualité ursuline, Andy Manché, habitué de nos colonnes, nous propose de prendre un peu de recul sur la bien nommée gestion et protection de la nature."
Article paru dans le n° 4 de la revue Nunatak, printemps/été 2019.