21 recettes végétaliennes pour des repas prévus pour une centaine de personnes...
Toutes les recettes de cette brochure ont été testées à la conférence européenne de l’Action Mondiale des Peuples en août 2006.
MOTS: Boîte A Outils Editions (Forcalquier)
21 recettes végétaliennes pour des repas prévus pour une centaine de personnes...
Toutes les recettes de cette brochure ont été testées à la conférence européenne de l’Action Mondiale des Peuples en août 2006.
1968, pourquoi parler de 1968 ? John Holloway évoque l’explosion de cette révolte contre le travail abstrait dont l’écho résonne encore aujourd’hui.
Durant « l’Age d’Or » de la piraterie, entre le 17ème et le 18ème siècle, des équipages composés des premiers rebelles prolétariens, des exclus de la civilisation, pillèrent les voies maritimes entre l’Europe et l’Amérique. Ils opéraient depuis des enclaves terrestres, des ports libres, des « utopies pirates » situées sur des îles ou le long des côtes, hors de portée de toute civilisation.
Sommaire :
– Utopies pirates est la traduction d’un texte publié en 2001 dans Do or Die n°8, la revue d’écologie radicale du collectif libertaire britannique du même nom. La première traduction était du collectif FTP, parue sous le nom de Bastions pirates.
– Les bateaux ivres de la liberté est un extrait de la préface que Julius Van Daal a rédigée pour Pirates de tous les pays, de Markus Rediker, éd. Libertalia, l’un des ouvrages les plus fréquemment cités dans Utopies pirates. Van Daal est l’auteur de Beau comme une prison qui brûle, éd. l’Insomniaque, mai 2010, et de Le rêve en armes : anarchisme, révolution et contre-révolution en Espagne (1936-1937), éd. Nautilus, Coll. Utopies en action, 2002.
– Between the Devil and the Deep Blue Sea est la préface de l’auteur, Markus Rediker, à l’édition française de Les Forçats de la mer, marins, marchands et pirates dans le monde anglo-américain, publiée chez Libertalia en 2010.
Dans la perspective de fonctionner de manière autogérée, tant à un niveau individuel que collectif, la responsabilisation de chacun-e face aux questions médicales est primordiale. Il est important - en matière de santé - de ne pas se reposer entièrement sur les spécialistes et d’acquérir, pour soi et pour les autres, des clés et des savoirs qui peuvent sauver ou simplement aider.
Ce guide n’entend pas transmettre une connaissance exhaustive des techniques de premiers secours, mais présente les gestes de base qui permettent à chacun-e d’entre nous de faire face avec le moins de panique possible à des situations d’urgence médicale ou mieux, de les éviter avec un peu de prévention.
Extrait de Femmes, Magie et Politique, il s’agit d’une analyse de la chasse aux sorcières au travers des thèmes de l’expropriation de la terre, de l’expropriation de la connaissance et de la guerre à l’immanence.
Paru initialement dans Archipel n° 228, juillet-août 2014, il s’agit d’une recension par Jacques Berguerand du livre de James C. Scott dont la traduction en français est parue en février 2013 aux Editions du Seuil sous le titre Zomia ou l’art de ne pas être gouverné.
James C. Scott, né en 1936 et professeur à Yale, se consacre depuis le début des années 1970 à l’analyse des formes de résistance auxquelles les dominé-e-s, les peuples colonisés, les laissés-pour-compte ont eu recours pour contrer la domination de l’État, précolonial, colonial ou postcolonial.
Cinq textes pour contribuer à une réflexion sur le progrès, la science, la société industrielle, en replaçant ces concepts dans un contexte historique, au niveau politique social et économique ; L’idée de progrès (Teodor Shanin) ; H. de St Victor, révolutionnaire ou réaliste ? (entretien avec Pierre Thuillier) ; Les Luddites, une tentative de réappropriation (Bertrand Louart) ; Le déclin de la paysannerie anglaise (Simon Fairlie) ; La technologie est une force sociale plus puissante que l’aspiration à la liberté (Theodore Kaczynski).
A l’époque de l’apogée du féodalisme dans toute l’Europe,
quelques communautés se soulevèrent contre leurs seigneurs
et rois et obtinrent des libertés qui leurs garantissaient une
autonomie plus ou moins étendue (création de la fédération
suisse en 1291, les cités-Etats italiennes, les villes libres en Allemagne, etc.). La région des Alpes du Briançonnais fut de celles-là dès le 14e siècle.
Au sommaire :
La République des Escartons au 14e siècle : tiré de l’Almanach buissonnier n° 5, mars-avril-mai 1982.
La charte des Escartons : traduite sous la direction de Fernand Carlhian-Ribois.
Quatre émissions ont été réalisées d’après la brochure Le temps des bûchers. Elles peuvent être écoutées sur Radio Zinzine ici.
Extraits de ’’Femmes, magie et politique’’ de Starhawk paru chez les Empêcheurs de penser en rond en 2003 (première édition en anglais en 1982). Le texte se centre sur la chasse aux sorcières en Angleterre. L’auteure est une écrivaine et activiste écolo-féministe américaine.
Plus précisément, voici les quatre émissions en mp3 : - n°1 - présentation - n°2 - l’expropriation de la terre (...)
"L’islam est homophobe, l’Occident tolérant", c’est cette formulation simpliste que l’auteur veut réfuter dans le premier article. Quant au second, il montre que l’islam moderne, qu’il soit radical ou modéré, ne peut être considéré comme en continuité avec l’islam traditionnel, et qu’il doit plus aux valeurs imposées par la colonisation qu’à ses racines historiques.