21 recettes végétaliennes pour des repas prévus pour une centaine de personnes...
Toutes les recettes de cette brochure ont été testées à la conférence européenne de l’Action Mondiale des Peuples en août 2006.
MOTS: Boîte A Outils Editions (Forcalquier)
21 recettes végétaliennes pour des repas prévus pour une centaine de personnes...
Toutes les recettes de cette brochure ont été testées à la conférence européenne de l’Action Mondiale des Peuples en août 2006.
Extrait de Femmes, Magie et Politique, il s’agit d’une analyse de la chasse aux sorcières au travers des thèmes de l’expropriation de la terre, de l’expropriation de la connaissance et de la guerre à l’immanence.
Que les Diggers et leur vision d’une société basée sur la propriété collective de la terre et de ses produits, malgré leur faible nombre (la vingtaine de personnes qui accompagnait Winstanley pour squatter St Georges Hill inspira d’autres groupes, mais à peine plus nombreux) et la courte durée de leur expérience (à peine un an) continuent, 360 ans après leur défaite, non seulement à être évoqués, mais aussi à être une inspiration pour nombre de gens et de collectifs semble incroyable.
L’une des explications pourrait être que Winstanley, ainsi que d’autres Diggers restés anonymes, a beaucoup écrit, et que la clarté, l’enthousiasme et la passion de ces textes font toujours sens de nos jours.
Mais aussi que l’un des grands slogans des Diggers appelait avant tout à l’action qu’ils considéraient comme indispensable au point qu’ils affirmaient que la théorie n’était rien si elle n’était pas suivie d’action. Non seulement disaient-ils (et écrivaient-ils) ce qu’ils faisaient, mais ils faisaient aussi ce qu’ils disaient. On peut les considérer comme les précurseurs, aussi bien du squat politique, que de l’action directe non violente, et c’est sans doute ce qui continue de les rendre populaires auprès de générations successives d’activistes.
Le 2 décembre 1851, Louis-Napoléon Bonaparte, président de la République française depuis trois ans, refuse de quitter le pouvoir à quelques mois de la fin de son mandat, alors que la Constitution de la Deuxième République lui interdisait de se représenter.
Il dissout l’assemblée, rétablit le suffrage universel masculin et convoque le peuple français à des élections et à la préparation d’une nouvelle constitution pour succéder à celle de la Deuxième République. Si le peuple de Paris réagit relativement peu pour défendre une assemblée conservatrice qui l’a dépouillé d’une partie de ses droits politiques, ce n’est pas le cas dans les zones rurales de près d’une trentaine de départements, en particulier dans les « Basses-Alpes », aujourd’hui les Alpes-de-Haute-Provence.
"L’islam est homophobe, l’Occident tolérant", c’est cette formulation simpliste que l’auteur veut réfuter dans le premier article. Quant au second, il montre que l’islam moderne, qu’il soit radical ou modéré, ne peut être considéré comme en continuité avec l’islam traditionnel, et qu’il doit plus aux valeurs imposées par la colonisation qu’à ses racines historiques.
Infokiosque et stand fabrication de badges à l’occasion de la fête annuelle de Zinzine, le 4 juillet 2015.
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Quatre émissions ont été réalisées d’après la brochure Le temps des bûchers. Elles peuvent être écoutées sur Radio Zinzine ici.
Extraits de ’’Femmes, magie et politique’’ de Starhawk paru chez les Empêcheurs de penser en rond en 2003 (première édition en anglais en 1982). Le texte se centre sur la chasse aux sorcières en Angleterre. L’auteure est une écrivaine et activiste écolo-féministe américaine.
Plus précisément, voici les quatre émissions en mp3 : - n°1 - présentation - n°2 - l’expropriation de la terre (...)
Durant « l’Age d’Or » de la piraterie, entre le 17ème et le 18ème siècle, des équipages composés des premiers rebelles prolétariens, des exclus de la civilisation, pillèrent les voies maritimes entre l’Europe et l’Amérique. Ils opéraient depuis des enclaves terrestres, des ports libres, des « utopies pirates » situées sur des îles ou le long des côtes, hors de portée de toute civilisation.
Sommaire :
– Utopies pirates est la traduction d’un texte publié en 2001 dans Do or Die n°8, la revue d’écologie radicale du collectif libertaire britannique du même nom. La première traduction était du collectif FTP, parue sous le nom de Bastions pirates.
– Les bateaux ivres de la liberté est un extrait de la préface que Julius Van Daal a rédigée pour Pirates de tous les pays, de Markus Rediker, éd. Libertalia, l’un des ouvrages les plus fréquemment cités dans Utopies pirates. Van Daal est l’auteur de Beau comme une prison qui brûle, éd. l’Insomniaque, mai 2010, et de Le rêve en armes : anarchisme, révolution et contre-révolution en Espagne (1936-1937), éd. Nautilus, Coll. Utopies en action, 2002.
– Between the Devil and the Deep Blue Sea est la préface de l’auteur, Markus Rediker, à l’édition française de Les Forçats de la mer, marins, marchands et pirates dans le monde anglo-américain, publiée chez Libertalia en 2010.
1968, pourquoi parler de 1968 ? John Holloway évoque l’explosion de cette révolte contre le travail abstrait dont l’écho résonne encore aujourd’hui.
Paru initialement dans Archipel n° 228, juillet-août 2014, il s’agit d’une recension par Jacques Berguerand du livre de James C. Scott dont la traduction en français est parue en février 2013 aux Editions du Seuil sous le titre Zomia ou l’art de ne pas être gouverné.
James C. Scott, né en 1936 et professeur à Yale, se consacre depuis le début des années 1970 à l’analyse des formes de résistance auxquelles les dominé-e-s, les peuples colonisés, les laissés-pour-compte ont eu recours pour contrer la domination de l’État, précolonial, colonial ou postcolonial.