Une critique radicale de l’école, sous forme de petits contes...
Une école tout à fait ordinaire...
I- Examens
II- Travaux pratiques
III- Histoire des sciences
IV- Message prioritaire du XXIIème au XXIème
Moralité : Brûle ton école !
MOTS: Critiques de l’âgisme et de l’éducation & mineur·e·s en lutte
Une critique radicale de l’école, sous forme de petits contes...
Une école tout à fait ordinaire...
I- Examens
II- Travaux pratiques
III- Histoire des sciences
IV- Message prioritaire du XXIIème au XXIème
Moralité : Brûle ton école !
Un pas vient d’être franchi dans la confrontation entre l’homme et la machine en milieu scolaire. Le 17 novembre 2005, vingt personnes habillées en clowns sont entrées en chantant dans le lycée de Gif-sur-Yvette, dans l’Essonne. Alors qu’ils exécutaient une saynète, deux dispositifs biométriques contrôlant l’accès des élèves ont été détruits à coups de marteaux. Trois personnes ont été arrêtées, battues par un surveillant et des élèves. Elles seront jugées par le tribunal d’Evry le 20 janvier 2006. Installés en 2004, ces dispositifs biométriques qui associent vérification de la paume de la main et frappe d’un code à sept chiffres n’avaient pas obtenu d’autorisation de la CNIL... peu importe.
La fonction première de l’école est l’anéantissement moral de chaque individu passant entre ses mains.
Cette brochure raconte mon expérience, celle d’un papa libertaire face à tous les aspects de la petite enfance, dans un monde capitaliste.
Face aux difficultés et à l’isolement auquel on est confronté en tant que parent·e dans un milieu urbain occidental, mon souhait est de partager mes questionnements et mes réflexions concernant l’expérience de la parentalité.
Cette brochure ne pourra jamais remplacer les échanges avec d’autres parent·es (ayant ou non les même convictions politiques), elle se veut comme une contribution, à mon échelle, à la construction du monde d’après...
Texte scandale publié un an et demi avant mai 1968, à l’Université de Strasbourg par l’AFGES.
Le texte qui suit ne constitue pas une énième analyse de Mai 68 et de ses conséquences. Il n’est pas non plus le fait d’un historien. Son seul mérite serait de mettre (ou remettre) en mémoire la trame, non exhaustive évidemment, des "événements", assortie des traits qui nous ont paru importants. Nous avons dû faire des choix…
Pour écrire ces lignes, nous avons largement fait appel à un certains nombres d’ouvrages déjà "anciens". Notre parti pris fut de valoriser le courage des révolutionnaires authentiques, de souligner les attitudes autoritaires et de ne pas minimiser les saloperies du gouvernement gaulliste et des complices de tous bords du pouvoir étatique.
Nous n’en finirions pas de citer les groupes et "catégories" dans lesquels une majorité, sinon une forte proportion d’individus, alors en grève illimitée, contestaient - hors théorie mais avec parfois une lucidité et une radicalité d’une ampleur inédite - le monde qu’il subissaient et la vie que le capital leur avait imposée ou qu’ils avaient acceptée par facilité, obéissance ou résignation, des instituteurs aux fossoyeurs, en passant par les cadres, les publicitaires, les musiciens professionnels et les footballeurs… L’heure était à l’urgence de vivre, à la contestation du travail et de toutes les hiérarchies, au « vivre sans temps mort, jouir sans entrave ».
Reflexions sociologiques sur le statut de l’enfant dans la société française actuelle.
Sommaire :
- Bases théoriques et problématique
A. Tentative de définition des éléments théoriques
B. Questionnements et regard sur l’objet
C. Questions qui articulent cette recherche - En guise de méthodologie
- Partie 1 : La différenciation des catégories : un statut spécifique à l’enfance
I. Bref historique de l’émergence du statut spécifique de l’enfant
II. Monde de l’adulte – monde de l’enfant
III. Statut juridique de l’enfant
- Partie 2 : Rapports d’autorité entre enfants et adultes
I. Évolutions du rapport d’autorité
II. Conflits et manifestations de l’autorité de l’adulte
III. Dissymétries dans l’interaction verbale : « écoute un peu ce que
les adultes te disent »
IV. Spécificités du rapport d’autorité
- Partie 3 : Mécanismes de légitimation et représentations de
l’enfant
I. L’enfant dans le langage : les dissymétries sémantiques
II. Deux conceptions antagonistes de l’enfant : « sale petit démon » / « adorable chérubin »
III. Besoin de l’adulte et autorité
IV. La violence symbolique
V. La « naturalisation » de la catégorie enfance
- Éléments de conclusion : Apports et limites de la recherche,
perspectives
Septembre 2007, déjà quatre des sept Établissements Pénitentiaires pour Mineurs - en construction depuis 2005 - sont opérationnels. Ces prisons d’un nouveau type ont ouvert, début juin 2007, leurs portes à quelques jeunes malchanceux, pour mieux les refermer brutalement derrière eux. Cellule, coursive, psychiatre, cellule, cours scolaires, matons, salle de sport, « éducateurs » en mal d’autorité, parloir, barreaux, juges, mur d’enceinte, béton, cellule, cellule, cellule... Voilà ce qui attend les jeunes enfermés !
Depuis deux ans, pourtant, une lutte timide mais déterminée a vu le jour, notamment aux abords des sites de Lavaur (Tarn), Orvault (Loire-Atlantique), Meyzieu (Rhône) et Porcheville (Yvelines). De campagnes d’information en réunions publiques, d’occupations de chantier en sabotages, cette mobilisation contre les prisons pour mineurs a pris de multiples visages. Sachant que cette bataille est à peine commencée, voici un état des lieux de la mise en place des EPM et des luttes et réflexions qui s’y opposent résolument. Même s’il est loin d’être exhaustif, ce « dossier d’information » propose de revenir sur l’historique, le contexte et la mise en oeuvre de la construction des prisons pour mineurs, avant d’avoir un aperçu de la mobilisation contre ces nouvelles taules (tracts & textes, chronologie des actions...). Les contacts des nombreux collaborateurs locaux pourront également intéresser certains... Enfin, un plan des chantiers, qui circulait en juillet 2007 sur internet, est reproduit en annexe du dossier.
Finissons-en avec les prisons pour mineurs !
Depuis le 19e siècle, le regard de la société sur la jeunesse s’est transformé. Quelles que soient les stratégies employées par les dirigeants successifs, la logique est restée la même : préserver les intérêts des classes possédantes.
Ce texte a été publié à l’origine en février 2006 sur Indymedia-Nantes à l’occasion d’une occupation de chantier de construction de la nouvelle prison pour mineur-e-s, à Orvault (banlieue nantaise). Cette prison pour mineur-e-s est entrée en fonctionnement en septembre 2008.
Peut-être que tu n’aimes pas le rose. Mais si tu es une fille, il y a beaucoup plus de chances que tu aimes cette couleur que si tu étais un garçon.
Tiens, pourquoi ?
Est-ce que le fait de posséder un vagin influence nos préférences pour certaines couleurs ?
Quel est le lien entre notre sexe et nos préférences ou notre personalité ?
Pourquoi les femmes/filles et les hommes/garçons sont-ils différents ?